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samedi 01 janvier 2011
Etude expérimentale de l’influence des protéodies
@LIEN : Étude expérimentale de l'influence des protéodies sur le développement foliaire chez Arabidopsis thaliana (L.) Heynh. et sur la synthèse d'α-amylase chez Hordeum vulgare L.

« La présente étude vise à apprécier la validité de l'influence des protéodies aux cours d'expériences contrôlées sur Arabidopsis thaliana écotype Columbia et Hordeum vulgare. Il s'agit en particulier de mettre à l'épreuve la théorie d'une régulation épigénétique telle que formulée par M. Joël Sternheimer dans un brevet européen déposé le 2 juin 1993. Il ne sera donc pas question ici de traiter en détail des questions fondamentales relatives à cette théorie, nous renvoyons pour cela aux travaux en physique quantique menés par l'auteur (Sternheimer, 2007). En quelques mots néanmoins, le mécanisme allégué reposerait sur une régulation de l'expression génétique au stade co-traductionnel grâce à une « mise en résonance » d'un phénomène bio-physique de type vibratoire par une séquence de fréquences sonores obtenues par transposition dans la gamme tempérée de la fréquence propre des acides aminés constitutifs de la protéine ciblée. Le brevet invoque en effet l'émergence de phénomènes quantiques au niveau de l'acide aminé conjugué à son ARNt du fait d'une stabilisation vis à vis de l'agitation thermique, stabilisation qui confèrerait à l'aa-ARNt des propriétés ondulatoires – ce point reste pour nous qui n'avons aucune connaissance en microphysique tout à fait obscur. Les interactions entre les acides aminés déjà intégrés dans la chaîne polypeptidique et l'aa-ARNt présenteraient ainsi une nature d'interférences ondulatoires plutôt que d'interactions corpusculaires et obéiraient dès lors à des contraintes « musicales » avec des fréquences de résonance disposées selon la gamme au tempérament égal. M. Sternheimer entend ainsi établir une règle de correspondance entre les notes de la gamme tempérée et les des vingt-deux acides aminés du vivant, correspondance à caractère « stimulatrice » si la séquence sonore est « en phase avec l'élongation » (nous citons) et à caractère « inhibitrice » dans le cas inverse ; « protéodie » (terme dérivé de protéine et du grec ôdê, chant) étant la dénomination de cette séquence sonore qu'elle soit stimulatrice ou inhibitrice. »



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